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Soif de danse, de musique,
de vie partagée

Plus que dans les autres stages en France, ces moments ont dit le lien si fort entre la danse et la vie quotidienne, entre la dimension artistique et la dimension thérapeutique de la « Danza libera ».

La danse, la vie, la nuit…

« Le matin j’étudie et, trois jours par semaine, je travaille dans un bar de nuit comme serveuse.
C’est étrange pour moi de faire ça, mais c’est tellement beau !

Je passe huit heures avec mon corps en mouvement total, entre les espaces pleins et vides des différentes personnes.

Je ne m’arrête jamais. Il ya toujours quelque chose à faire et la nuit passe. La fatigue vient avec douceur m’amener à la maison.

Je prépare des petites choses à manger qui sont bien aimées par les personnes qui viennent… Dans un sens, je danse et danse et danse avec mes verres et les bouteilles sur les fils de la nuit.

Je trouve ça bon pour moi et j’espère que ça va aussi me donner de l’argent pour nous rencontrer au stage de décembre .

Ce que je pense à propos de la danse (c’est la même chose pour l’amour) c’est que si « on aime ; on aime »… on ne peut pas se faire arrêter, par rien du tout, on a besoin d’aller, des fois loin, des fois à côté, mais là où on peut sentir et partager cet amour »

Extrait d’une lettre de G.